28 août 2006

Mon vendredi dans les bars

Vendredi dernier, miam-miam, je suis sortie prendre un verre avec mon ami sans surnom. Je précise « sans surnom », car ceux qui me connaissent bien savent que je fonctionne mieux avec les surnoms qu’avec les noms réels, puisque ma mémoire nominale me fait affreusement défaut la moitié du temps. Par contre, mon cerveau ne semble rien trouver qui colle vraiment à la peau de mon pauvre ami sans surnom, à son grand désarroi, car il aime bien cette habitude que j’ai de surnommer les gens. Ça viendra, mon ami, ne t’en fait pas. J’attends l’inspiration, c’est tout.

Donc moi et mon ami sans surnom sommes allés prendre un bière (qui est devenue plusieurs) ensemble, car ça faisait bien trop longtemps à notre goût qu’on ne s’était pas raconté nos vies.

Notre premier arrêt s’est fait au Quartier Latin, rue Ontario près de Saint-Denis, en plein cœur dudit quartier latin... C’est concept! On est bien heureux de voir qu’il reste une table pour deux sur la terrasse, juste pour nous, comme si elle nous attendait. On est heureux parce qu’il fait encore bon dehors et qu’on ne veut pas encore dire adieu au temps doux, qui nous permet de passer la soirée à l’extérieur.

Voilà donc, on s’assoit et on sirote joyeusement chacun notre verre de rousse. Ce que c’est bon une bonne bière froide, un vendredi soir, après une longue et grosse semaine. Je peux vous assurer qu’on l’appréciait au moins autant que la compagnie de l’autre.

On discute vivement, comme tous les gens branchés qui nous entourent. On parle de musique, de nos amis communs et d’un million d’autres trucs, et, comme chaque fois qu’on converse, on se trouve toujours plus de ressemblances et de points communs sur lesquels ne pas s’obstiner! Hé!

Lorsque l’heure du parcomètre sonne, on décide de ne pas seulement le recharger, mais bien d’aller se poser ailleurs. Et ce ailleurs, n’est nul autre que les Foufounes Électriques, où chacun de nous n’est pas allé depuis une éternité. Bon, ça jure un peu avec le début de notre soirée et notre apparence, mais « jurer dans le décor » et « Foufounes Électriques » vont tellement bien ensemble, qu’on s’en fiche complètement!

Une fois sur place, direction le bar, on attend notre verre et on voit un gars de sécurité qui n’aurait pas pu se trouver meilleure place où travailler. Une grosse boule, musclée sous sa graisse, t-shirt noir de mise, crâne complètement dégarni, barbe velue et charnue, qui mange goulûment une grosse poutine graisseuse. Mon ami sans surnom et moi, on se regarde, et sans rien dire on sait que l’autre pense exactement la même chose : il ne fait vraiment qu’un avec la place ce gars!

Motivés, on se dirige encore une fois sur la terrasse, à l’arrière. On jase encore plus, surtout que moi, la bière commence à me rentrer sérieusement dans les cellules grises. Et c’est alors que mon ami fait une pause pipi que je vois un truc qui, tout comme le gars de sécurité va vraiment de paire avec la place... un énorme rat qui passe tout près de ma table. Il arrivait de derrière moi, et donc fort probablement de l’intérieur de la bâtisse (rappelez-moi de ne JAMAIS essayer la bouffe aux foufs!!) et qui se dirige un peu trop nonchalamment à mon goût vers la ruelle à l’arrière de la terrasse. Il sent la bouffe de nos voisins de table et ne semble pas pressé de s’en éloigner. Il finit par sortir, tout de même, mais je vois toujours sa silhouette à travers la clôture et j’aime pas trop. Quand mon ami sans surnom revient, je lui raconte tout ça et je dois avouer que je ne peux m’empêcher de garder les yeux rivés vers le trou par lequel il est sorti. Si vous l’aviez vu, vous auriez fait pareil... il était au moins gros comme mon pied!!

Alors que le temps passe, il se pointe à nouveau le bout du nez à quelques reprises, mais sans jamais trop s’aventurer et en se cachant chaque fois que je dis à mon ami qu’« il est là! Regardes il est revenu l’effronté!!! »

On fini par partir, puisque mon obsession devient réelle et que, de toute façon, nous n’avons plus de bière et qu’on en a bien assez bu pour ce soir.

Juste pour finir la soirée en beauté, on décide de s’acheter une grosse patate frite graisseuse pour le voyage, avant d’aller faire de gros dodos. La Belle Province du coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine semble parfait pour nous et c’est très froidement qu’on se fait dire : « pour vous! » en guise de prise de commande. Une patate, une! Dès qu’on l’a entre les mains, juste avant de sortir, on se dit que ce serait une bonne idée de prendre des serviettes, puisque les frites en question ont comme ingrédients de base 50% de gras et 50% de patate. Alors que mon ami sans surnom, poli de nature, va demander gentiment au caissier s’il peut prendre quelques serviettes à côté de sa caisse, l’homme ne fait que les pointer rudement et lui lançant un « pick up!!! » aussi sec que significatif. Il les prend et on s’empresse de sortir en riant.

Ce vendredi soir fut donc un étrange mélange de bière branchée, de bière trash et de frites graisseuses... c’était chouette! Éclectique, mais chouette!! hihi

23 août 2006

Ça y est... je suis amoureuse!

Eh oui! L’incroyable est arrivé! Je suis tombée sous les charme d’un bel homme. Encore...

Le week-end dernier, j’ai passé de bons moments avec un charmant jeune homme. Par une journée pluvieuse, je l’ai bécotté, je l’ai cajolé et je l’ai accueilli tout au creux de mes bras. C’était chouette et pour la première fois j’ai senti un pincement étrange dans ma poitrine, comme pour me dire d’arrêter de jouer la comédie pour un instant et de me laisser aller à dire à la terre entière qu’il est beau et que je l’aime.

Ceux qui me connaissent, savent que ma sœur était enceinte. Ceux qui connaissent aussi ma sœur savent qu’elle était plus qu’enceinte et qu'elle tirait à présent sur l’imitation (très bonne d’ailleurs) du béluga en chaleur! Eh bien, c’est dans la nuit de samedi à dimanche qu’elle s’est décidé à faire voir le soleil à son poupon. Ou alors c’est lui qui a décidé qu’il en avait marre d’être à l’étroit. J’en sais trop rien.

C’est quand je me suis rendue à l’hôpital, alors que je l’ai pris dans mes bras, que Cupidon m’a mitraillé. Si petit (m’enfin, faut le dire vite, il faisait quand même presque 11 livres à la naissance!!), si délicat, sans aucune défense, ni aucune armure inutile. Si mignon.

Ceux qui me connaissent un peu savent très bien que je suis la dernière des dernière à faire gaga-gougou pour un bébé et encore plus à devenir gaga-gougou devant un bébé. En arrivant à sa chambre donc, j’ai laissé mon père faire les (et le) gaga-gougou et je faisais ma nonchalante à dire que je le voyais bien d’où j’étais quand on me disait de m’approcher pour le regarder et à dire que je le prendrais plus tard, que je laissais ma place aux autres quand on me disait de le prendre.

Mais à voir ma sœur, toute souriante (même déchirée) et à l’entendre me dire « enwouèye donc!! » (je viens de perdre tous mes amis Français juste là!! hihi) j’ai soupiré, j’ai dit ok et... je suis tombée amoureuse! Tout bonnement.

Après un temps, mon père annonce qu’il part et ma sœur, très habilement, agit et parle comme si de toute façon je restais avec elle en disant au revoir au grand-père alors que la tante avait toujours bébé Étienne dans les bras. Mais oui, j’avais oublié de vous le mentionner, il se prénomme Étienne. C’est un nom pour lequel je craque, je dois l’avouer (preuves à l’appui, j’ai bel et bien craqué pour un Étienne dans le passé!) et il se pourrait bien qu'il soit roux, un autre point pour lequel je craque et j'ai craqué dans le passé.

Me voici donc, seule avec Étienne et Sarah, lui tout endormi, que rien ne pourrait réveiller et elle toute fatiguée de sa nuit blanche et épuisante. J’approche le fauteuil du lit de ma sœur, elle se couche, je m’évache (au revoir les cousins du vieux continent qui suivaient encore!! hihihi), sans soulier, j’étire mes pieds sur le lit d’hôpital et j’ai toujours le petit Étienne blotti dans mes bras, si confortable, à ne pas bouger. Ma sœur somnole et mes yeux passe d’elle à Étienne, mais je dois avouer qu’ils sont plus souvent fixé sur Étienne. Et alors que je souris toute seule en me disant que je suis bien contente que personne ne me voit ramollir de la sorte, ma sœur me lance un « je t’aime » aussi inattendu qu’embrouillé par le sommeil. Je souris d’autant plus et je lui rend le compliment.

C’est quand d’autres membres de la famille arrivent que je me racle la gorge, je reprend mes esprits, je remets ma carapace de « moi, les bébés... bof!! » et je finis par m'éclipser, pour retourner chez moi et les laisser se reposer.

Mais toute la soirée et même à l’occasion depuis, j’ai Étienne dans la tête. Ses petits doigts, ses petites lèvres, ses petits pieds...
Je suis vraiment en train de vous parler de pieds de bébé!?!?! Mon dieu, qu’est-ce que je suis devenue?? Ma sœur à créer un ange et un monstre à la fois.

Bah, c’est pas grave, je me dis que je compense pour ma mère dans ces moments-là. Elle aurait parlé sans cesse de ses doigts/pieds/lèvres et tout le reste du genre.
Elle aussi aurait trouvé qu’il a l’air d’un ange.
Elle aussi serait tombée amoureuse...

T’inquiètes petit Étienne, je te raconterai ta grand-mère.
T’inquiètes.

16 août 2006

Mon escapade à Québec… ou l’histoire d’une bulle au cerveau

On est dimanche. Un dimanche tranquille, vous savez, lorsque l’après-midi semble interminable, que chaque minute (tout naturellement consacrée au ménage, ramassage, époussetage, lavage, etc.) semble vous regarder droit dans les yeux et dire : « ouais, c’est plate hein? Ben y en a une autre juste comme moi qui s’en vient. ». Un vrai dimanche quoi. Et alors que je me regarde le nombril, je pense à ma semaine qui recommencera sous peu et au retour de vacances de nombreux collègues, vacances que moi je n’ai pas eues et que je n’aurai pas... c’est la joie des nouveaux postes. C’est pas grave, je me résigne.

Et tout à coup, un truc incroyable est arrivé. Une bulle. Une toute petite bulle tout au fond de mon cerveau. Le genre de bulle dont on se souviens longtemps.

Je m'explique. Voici :

Moi, je connais un beau grand brun, un gentil beau grand brun avec qui j’ai passé des moments magiques, intenses et inoubliables. Pour ceux qui me connaissent ou qui connaissent mon histoire, je n'ai qu'un mot à vous dire: Londres!

Bref, ce beau grand brun, donc, est en vacance (lui aussi) pour quelques jours encore. Il s’est posé dans une grande maison vide à Québec pour ses derniers jours de repos.

Et tout à coup, suite à quelques courriels et SMS sur nos cellulaires respectifs, un fait étrange et surprenant nous saute au visage : bien qu’on ne puisse se supporter assez longtemps pour fonctionner en tant que couple, la présence de l’autre nous manque, juste là, à cet instant, en ce dimanche. Et c’est à l’instant précis où je réalise ceci que la bulle s’est manifestée. Une bulle pareille à celles m’ayant fait faire les trucs les plus fous et les plus « Alexandre-Jardinesque » de ma vie.

Je décide donc, dimanche, de rentrer au boulot lundi matin, de terminer rapido les trucs les plus urgents et de quitter Montréal sur l’heure du midi pour aller voir mon grand brun pour un peu plus de 24 heures. Juste comme ça. Juste parce que.

L’idée que ma bulle m’a mise en tête plaît bien au principal concerné et il m’accueille royalement à mon arrivée en fin d’après-midi. J’ai droit à de longues minutes de baisers, à s’en essouffler et à se faire rougir le menton, dès mon arrivée. Miam! J’ai aussi droit à un succulent repas barbecue aux chandelles, à une très bonne bouteille de vin, et surtout à un long bain à deux, bien chaud, rempli de bulles et accompagné de champagne (lui aussi rempli de bulles). Re-Miam!

Pour la deuxième journée, petit-déjeuner sur la terrasse, saucette rapide (c'est le cas de le dire, il fait très froid et on entend le tonnerre au loin!!) dans la piscine, plus de câlins et un deuxième souper barbecue sont au menu. Et puis, comme on ne peut se résigner à terminer la soirée bêtement et abruptement pour me permettre de prendre le dernier bus de la soirée, on se paie une deuxième nuit collée. Nuit payée chère dans mon cas : je dois me lever (m'enfin, me réveiller) à 4h30 et quitter à 5h15 pour ne pas rater le premier bus et aller travailler directement. De plus, l’anxiété de ne pas me réveiller à temps et de constamment me demander quelle heure il est a pour effet de m’empêcher de dormir la plus grande partie de la nuit.

Mais bon, 4h30 arrive et je quitte doucement mon beau grand brun, tout endormi et si joli, pour me diriger vers le boulot. Ma journée sera certainement longue et pénible, mais, alors que je passe le pont de Québec, direction Montréal, je regarde le soleil se lever sur le fleuve, à travers les nuages roses, je souris doucement et je me fiche complètement de la fatigue et des longues heures à venir. Je m’en fiche parce que j’ai la tête pleine de douceurs, de baisers, d’yeux pétillants et de caresses... comme depuis la première fois, comme depuis Paris, Lyon et Londres. Je m’en fiche parce que j’ai écouté une bulle et que j’ai profité de la vie.

Simplement.

Juste parce que...

09 août 2006

Moi et les cochons

C’est par une journée remplie de soleil et de pas trop d’humidité que, samedi dernier, j’ai profité de mes contacts festivaliers et des billets VIP (je reste une VIP, n’oubliez pas!) qui m’avaient été donnés pour aller faire un tour du côté de Sainte-Perpétue et m’amuser comme une petite folle avec les cochons... et mes amies, bien sûr!

C’est avec un plaisir non modéré que j’ai été rejoindre la belle Geneviève, juste avant de faire connaissance avec la maison Saint-Hubertoise de ma collègue et amie Valérie. Une fois tous les copains de la journée (sauf une) rassemblés, on quitte Saint-Hubert et j’appelle la belle (oui, elle aussi!) Julie (c’était elle la sauf une) de Trois-Rivières, pour lui dire quand et où nous rejoindre.

À peine arrivés à Sainte-Perpétue, les géants du synchro frappent et qui ne voit-on pas entrer dans le stationnement? Eh oui! Jolie Julie!!

Salutations, bisous, sourires, on est contentes, heureuses, il fait beau… go pour les cochons, j’ai hâte moi!! Une fois à l’entrée, oh combien excitée suis-je de constater que les organisateurs ont inventé l’option d’acheter un passeporc pour avoir accès au site pour toute la durée du festival. Pas si intéressant que distrayant, juste de par le nom-rempli-de-jeu-de-mot-chouette choisi!!

Une fois « dans l’antre » et après avoir résolu les technicités entourant nos passes VIP (de belles cocardes nous ont été remises et surtout, SURTOUT, 4 coupons de consommation gratuite!!), nous partons faire un tour d’horizon de l’endroit.

YÉ! Moi j’avais hâte d’arriver au petit marché de la charcuterie pour faire le plein nasal de douces odeurs de viandes non usuelles et très tentantes... Miam! J’avais même emprunté un joli cooler et un ice-pack à mon beau grand brun pour l’occasion (la madame est prévoyante! hi!hi!hi!) Bref, j'ai fait l'acquisition de bonnes saucisses au wapiti, et d’autres bière-épicées et bacon-cheddar pour ne nommer que celles-là ou plutôt n’acheter que celles-là... boy! Tellement de produits si tentants, tout a l’air bon, oh my gooooooood! OK, concentration, je m’arrête après ces trois choix et je vais gentiment et tranquillement les porter dans mon cooler.

Next step : aller voir les cochons, bien sûr! À la petite ferme des Trois Petits Cochons, il y a plein d’animaux gentils que les enfants peuvent flatter : une demi-douzaine de moyens cochons roses qui dorment, un géant cochon tout noir et vraiment laid et tout évaché (qui en fait était probablement une truie... rien pour aider sa cause), quelques mini-mini cochons tout mignons un peu noir et un peu rose (incroyable de penser que le béluga noir au nez plat d’à côté ait pu créer de si jolis trucs) et finalement, de gentils lapins qui se laissent doucement flatter par les petits (et les moins petits) intéressés.



Par la suite, on mange rapido (du porc, bien sûr!) avant d’aller se poser les fesses dans l’estrade VIP pour assister à l’attraction numéro 1 du festival : la course national du cochon. Le concept est relativement simple, un enclos rond au centre duquel se trouve un espèce de baril rectangulaire et plusieurs cochons s’y dandinent doucement. Un gars met exprès plein d’eau par terre pour faire le plus de bouette possible. Puis deux personnes entrent dans l’enclos pour courir après les cochons, juste pour les exciter (exprès aussi!). Puis des gars et des filles entrent à tour de rôle dans ledit enclos pour se pitcher (littéralement) dans la bouette sur le cochon qui leur était attribué pour faire tout en son pouvoir pour immobiliser ledit cochon et le pitcher (littéralement) dans le baril en un maximum de 1 minute 30 secondes. L’équipe (2 gars et une fille chaque) qui accumule le moins de temps gagne. Simple, mais très complexe à la fois.

Boy, ça me donne le goût d’essayer! On verra l’année prochaine si l'envie m'a passée.

De plus, cette course aussi fameuse qu’elle puisse l’être est animée par deux drôle de messieurs, Jean-François Baril et Alex Perron. Je trouve ce dernier particulièrement drôle, mais ses cheveux sont incroyablement trop frisés\longs-mais-pas-assez\bizarres et je dois avouer que ça me turn off... Mais bon, aussi gay qu’il soit, ça ne change absolument rien à ma vie ou à la sienne ce que je pense de ses cheveux!

By the way, le meilleur temps, c’était une FILLE!!! Dans votre face les gars avec un excellent 16 secondes avant de mettre le cochon dans le baril! hihi Bravo Madame-dont-je-ne-me-souviens-pas-le-nom-ni-la-provenance!! Bravo!



Par la suite, on va dans les jeux de la foire pour taper sur la tête de quelques pauvres taupes innocentes (ce que c’est chouette ça!) et pitcher des balles dans des troues qui font avancer des cochons (j’ai pas joué à ce jeu, je n’ai pas trop suivi non plus, désolée pour le vague de l’explication...).

Puis, mes braves amis risquent leurs vies dans un manège qui tourne à l’envers et dont les grilles ne s’ouvrent pas à la fin du tour! L’espèce d’idiot qui contrôle le manège décide de tout simplement faire un deuxième tour, super relax, cigarette au bec. Seigneur! Si j’avais été dans ce manège, j’aurais TELLEMENT pété ma coche! Il n’aurait pas vu la fin de ma rage… mais mes amis, tout calmes et gentils qu’ils sont, se sont laisser virer la tête (et les trippes) à l’envers une deuxième fois, sans rien dire. Bref. Fin de l’épisode. Pas de commentaires.

Finalement, pour terminer la soirée en beauté (sarcasme ici!) un spectacle de Éric Lapointe, totalement ivre, avec une cigarette à la main et une canette de bière dans l’autre. Il prend un puff après le premier couplet, une gorgée après le deuxième et continu à chanter. **soupir**

Anyway, fin de la soirée… énorme bouchon de circulation pour sortir du minuscule (pour ne pas dire minus) village de Sainte-Perpétue. Seigneur! C'est probablement le seul temps de l’année où le village vit ce genre de phénomène circulation et le seul endroit au monde content de vivre ce phénomène de circulation.

Arrivée tardive à la maison et dépôt doux, rapide et heureux de ma tête sur mon oreiller. Cette nuit-là, je rêvai de cochon et de bouette (dans l’ordre et dans le désordre)!

C’était chouette cette journée avec les cochons! Qui l'aurait cru... moi et les cochons! ouf!