Kwiziwizi - Suite et fin... littéralement!

C'est aujourd'hui le premier jour officiel de mes vacances des Fêtes.
Wow!
Va-caaaances... ouf.

C'est aussi aujourd'hui le premier jour officiel où vous pourrez ajouter le mot kwiziwizi à votre vocabulaire!

Par où commencer?
Un kwiziwizi n'est pas un truc tangible.
C'est une émotion.
C'est un sentiment qui nous prend par surprise et en des moments inattendus.
Ça prend au ventre, ça tord, ça bouillonne, ça brasse un peu, mais ça ne fait pas mal.

Il ne faut pas confondre le kwiziwizi avec des papillons au ventre.
Ces derniers sont synonymes de stress ou de nervosité.

Le kwiziwizi résulte plutôt d'une petite excitation qui nous fait sourire malgré nous.
De l'arrivée d'une pensée pour une personne qui nous fait briller les yeux et gargouiller le ventre.
Le kwiziwizi est la finalité d'un petit moment de bonheur intense qui ne peut être contenu convenablement.
Une sorte de choc électrique qui part du coeur et qui va jusqu'au fond des entrailles.

C'est chouette un kwiziwizi...

C'est un peu ironique que je vous explique finalement la définition du kwiziwizi aujourd'hui puisque la personne qui m'a fait renouer d'amitié avec les kwiziwizis est officiellement sortie de mon orbite.
Pas surprenant, me direz-vous.
Je sais, vous répondrai-je.

J'accumule les essais/erreurs à une vitesse folle!

Mais bon, qu'à cela ne tienne! Je ne regrette aucunement les kwiziwizis que m'a procuré ma dernière flamme et j'attendrai les prochains avec impatience!

Je profite d'ailleurs de l'occasion pour vous souhaiter une belle fin d'année et des milliers de kwiziwizis en 2009!!

Kiwziwizi et Magnétothèque

Bon matin!

Je dois avouer que je suis un peu déçue... j'ai reçu très peu de réponses et de tentatives d'explication de ce que peut bien être un kwiziwizi!
Je vous laisse donc mijoter encore un peu.
Je vous reviendrai plus tard en début de semaine avec l'explication complète (quoique non scientifique!) de ce fabuleux phénomène.

Deuxième mot compliqué par contre en ce samedi matin frisquet...
Magnétothèque!

Il ne s'agit pas d'un jeu étrange, ni d'une maladie dégénératrice rare, ne vous en faites pas.

Comme son nom l'indique, c'est un heureux mélange de magnétophone et de bibliothèque. C'est l'organisme qui s'occupe, entre autres, d'enregistrer des livres en version audio pour les non-voyants et les personnes incapable d'apprendre à lire pour diverses raisons (physique, sociale ou psychologique).

Eh bien...
Roulement de tambours...
Petit pas pour la femme et grand pas pour l'humanité, je fais maintenant officiellement du bénévolat pour la Magnétothèque. Je suis monitrice et donc responsable de la qualité de l'enregistrement et du respect des normes de lecture.
Écoute, minutie, patience et concentration seront au rendez-vous cet avant-midi.

Je pars dans quelques minutes pour ma première scéance d'enregistrement, toute fébrile et souriante, bien qu'encore un peut endormie!

Je vous redonnerai également des nouvelles à ce sujet.
J'ai bien hâte de voir quel sera le premier livre à m'être assigné!!

Qu'est-ce qu'un "kwiziwizi"?

Joli petit mot inventé par nulle autre que... moi, le "kwiziwizi" n'est apparemment connu que par moi!

Un rapide sondage m'a fait découvrir que la plupart d'entre vous n'y comprend rien quand j'utilise ce terme.
Je n'ai qu'un mot: désolant.
Vraiment. hihi

Je vous laisse donc une autre chance mes amis...

Cherchez un peu.

Dites-moi ce que vous pensez qu'un kwiziwizi peut bien être.
Je vous donne quelques indices :
 - un kwiziwizi vient rarement seul;
 - il peut être un peu inconfortable ou gênant, mais est rarement désagréable.

Je vous reviendrai avec plus d'explications, mais je vous laisse cogiter un peu. Demandez autour de vous, passez le mot, j'aimerais bien trouver une autre personne qui kwiziwize allègrement!

Peu importe, vous allez devoir apprendre tôt ou tard le fondement de cette expression bientôt, puisque les kwiziwizis sont revenus depuis quelques temps dans mon environnement. Ayant brillés par leur absence depuis des années, ils sont maintenant revenus et semblent bien décidés à devenir assidus.

à suivre, donc...

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Qu'est-ce qui se passe avec les Britannques!?!

Ils ont le big and beautiful London.
Ils ont la Reine.
Ils ont des sandwichs au concombre et de la putain de bonne bière.

Mais c'est pas assez.

Boy George.
Ce cher Boy George, que j'ai tant aimé et tant chanté étant jeune, est jugé coupable d'avoir retenu contre son gré un joli petit mâle escorte dans son appartement. Son excuse? Le jeune homme aurait utilisé à son insu son ordinateur portable...
Hooouuu!
Je l'aime bien mon nouveau Mac moi aussi, mais je ne crois pas que je menotterais qui que ce soit pour le défendre!
Ça t'apprendra mon p'tit Boy à prendre des photos de jeunes hommes qui sont pas contents par la suite.

Coldplay.
Hoooo boy!
Les quatre beaux garçons seraient... des copieurs?
Le succès de l'heure "Viva la Vida" serait en fait une copie quasi conforme de la musicalité de "If I could fly" du super guitariste Joe Satriani.
Un procès devant jury s'annonce... Chris Martin pourrait jouer l'innocent et dire qu'il ignorait l'existance de cette pièce, mais... ce sera dur à prouver mon beau!
Même mélodie. Même rythme. Mêmes notes.

À vous de juger : http://www.youtube.com/watch?v=1ofFw9DKu_I

Mais dites-moi... qu'est-ce qui se passe avec les Brits?
Ciboulot... vous avez un bel accent et le Scotland Yard! Virez pas fous!

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Le grand saut

Depuis quelques mois, plusieurs transitions ont pris place dans ma vie.

De grands changements ont eu lieu au boulot, des restructurations touchant très directement ma définition de tâches et ma charge de travail.
Dois-je remettre en question le pourquoi de ma présence derrière mon écran de travail? Ou alors dois-je prendre le taureau par les cornes et considérer ces changements comme autant d’opportunité de prouver aux autres mes qualités organisationnelles et opérationnelles, en même qu’à moi-même ma grande capacité d’adaptation? Optons pour le choix numéro 2!

De grands changements ont eu lieu dans mes cheveux au mois d’août dernier. Je sais, c’est loin derrière, mais je n’en suis pas encore complètement revenue…
Faute d’excès de chaleur, je me suis questionnée sur le pourquoi de l’existence de mes looooongs cheveux ondulés. Devrais-je les laisser ainsi et les attacher à qui mieux-mieux? Ou alors dois-je leur couper le bec (c’est le cas de le dire). Là encore, j’ai opté pour le choix numéro 2 et ils n’ont plus touché mes épaules que du timide bout de leurs pointes. Ouf… le choc!

De plus petits changements aussi, quoique tout aussi importants, se sont opérés dans ma vie personnelle.
Mon choix d’entourage s’est modifié, peaufiné et je dirais même amélioré!
Bonne décision de ne plus vouloir ou devoir plaire à tout prix à tout un chacun qui ne le mérite pas nécessairement au fond. Je me suis défait de bien des liens inutiles et/ou négatifs pour moi. J’ai tissé d’autres liens ou alors j’ai renforcés ceux qui méritaient vraiment de l’être.
Les personnes qui sont proches de moi le sont donc pour de bonnes raisons et pour de bon, j’en suis certaine.
Aussi, j’arrête de pousser trop loin les rencontres qui ne mènent à rien au fond.
Sage décision me direz-vous…
Vous avez tout à faire raison. Sage décision, mais dure décision tout de même.
Pas facile de jeter l’éponge sur des personnes avant même d’apprendre à les connaître vraiment. Mais finalement, doit-on réellement perdre de l’énergie à chercher à apprivoiser des gens (des hommes) qui ne veulent pas l’être?

Moi je dis : Hoo noooooo….

Mon job, mon look et mon carnet d’adresse se transforment tous à leur façon, mais deviennent par le fait même vachement plus intéressants!

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Retour en force!

Il y a longtemps que je n’ai pas pris le temps de m’installer devant mon écran pour écrire vraiment. En fait, ceci est probablement le plus grand mensonge/vérité jamais énoncé. C’est ce que je fais tous les jours écrire sur mon ordinateur... C’est ce que je suis payée pour faire même!

J’écris sur les spas, j’écris sur les festivals, j’écris sur les attractions du Québec.
C’est mon job.
J’écris pour Quebecvacances.com et son webzine Escapata.
Et j’adore ça, je dois le dire.

Ce que je regrette un peu, c’est d’avoir perdu le réflexe de m’installer devant mon compagnon informatique pour écrire sur moi. Juste discuter en sens unique sur mon blog.
Des amis m’en ont parlé dernièrement en me disant que ça leur manquait un peu de lire mes nouveaux textes et ça m’a fait réaliser que ça me manque aussi. Beaucoup.
Ce matin donc… en pyj, lunettes au nez et sourire aux lèvres, j’écris.

Je ne sais pas qui me lira puisque ça fait si longtemps... Mes habitués ont dû déserter depuis belle lurette!

Mais j’écris tout de même avec pas grand chose à dire.

Je pourrais commencer par faire le point sur ce qui m’est arrivé depuis juin, date de mon dernier texte…
Par où commencer?

Mon boulot…
Ça a un peu changé, je rédige beaucoup plus… en fait, je ne fais que ça! Il y a eu l’arrivée de notre webzine mensuel, tel que mentionné plus tôt.
(http://www.quebecvacances.com/webzine/webzine_du_quebec.aspx)
Très intéressant, vous verrez!

Ma famille…
Ma sœur est subitement devenue veuve… ça me fait étrange. Je pourrai en reparler un de ces quatre plus en détail, mais pas maintenant, pas ce matin.
Elle a déménagé tout près de chez moi avec ses deux garçons, je suis donc beaucoup plus près d’eux (dans tous les sens du terme) et ça me plaît.
Mes pères sont toujours en Gaspésie et je songe à une petite escapade bientôt, ils me manquent…

Mon cœur…
Le mot qui me vient spontanément est : chaviré.
Rencontres frivoles à volonté, toute une gamme d’essais/erreurs plus ou moins désastreux selon les cas, tout y est passé cet été et cet automne.
Mais juste là, depuis quelques temps, il est devenu copain avec un autre chaviré et ça le rend serein. Il est bien… et moi aussi je dois avouer.
Ça aussi, ça me plaît.

Mes voyages…
Je suis allée me poser en Suisse pour quelques semaines durant le mois d’août. J’y ai passé de beaux moments avec Jipi, j’y ai fait de belles rencontres, j’y retournerais demain matin si on m’en donnait la possibilité!
Le prochain départ? Début 2009 j’y compte bien, mais je ne sais ni où, ni quand exactement… c’est comme à l’habitude quoi!

Voilà pour le moment…
Je vous (me) promets d’être plus assidue.
À tout bientôt!

Moi j’ai la peau douce!

Vendredi dernier, en compagnie de ma collègue et amie MC, je suis allée passer un après-midi de détente et de luxe au superbe Balnea Spa à Bromont-sur-le-Lac.

Ouf…

Non seulement j’ai bien profité des installations, entre les bains tourbillons extérieurs, les spas norvégiens et le bain turc, mais j’ai pu me reposer doucement sur les chaises longues à discuter doucement avec ma copine. Nous avons aussi fait une pause sur d’immenses, trop confo coussins, au milieu du gazon. Pendant que MC lisait son bouquin, moi j’ai passé mon temps à regarder une sauterelle s’amuser au milieu des trèfles (pas de chance, ils avaient tous trois feuilles…) et le vent faire danser les feuilles d’un vert si particulier qui enveloppe les arbres au printemps pendant un court instant.

On a aussi profité de l’occasion pour s’emplir l’estomac de douceurs. MC a choisi un bon sandwich au saumon fumé, qui était agréablement garni, entre autres, d’algues croquantes. Ça semblait délicieux, mais je n’aurais pas échangé ma super salade au fromage de chèvre que j’ai bien apprécié. Même les jus étaient succulents : fraise et banane pour moi, limonade et thé vert pour MC. La dernière combinaison était ma foi étonnante et une belle découverte!

Mais le clou de notre escapade, c’est certainement les soins qu’on a reçus. Pour se préparer pour l’été et se défaire des peaux mortes de l’hiver, on s’est fait donner des scrubs. L’exfoliant de MC était aux sels de la Mer Morte et le mien était délicieusement exotique : moût de raisin et miel de lavande. Miam! Juste à l’odeur, j’étais déjà heureuse… mais les mains magiques d’Isabelle m’ont littéralement rendue euphorique. On peut dire que ma peau était heureuse de se faire cajoler de la sorte. J’en suis ressortie détendue et tellement, tellement douce… autant au niveau du moral que de la peau!

En plus, j’ai reçu un verre de vin rouge et une coupe de fraises à la suite du soin. C’est confortablement installée dans l’un des sofas, que j’ai dégusté mon « dessert », en compagnie de MC, à regarder un superbe livre qui présentait toutes sortes de maisons de luxe d’un peu partout à travers le monde… de quoi faire rêver!

Une fois à la maison, j’étais heureuse de ma journée, légère et très détendue.
Je me suis endormie en souriant… et en flattant ma peau douce, douce, si douce!

Merci MC!!
La prochaine fois, ce sera où?

C’est le printemps!!

Ah… oui!
C’est le printemps.
Maintenant que Météomédia nous l’affirme en souriant et qu’il fait 20oC, on le croit.
Maintenant qu’on fait la queue devant le Dairy Queen pour une glace trop chère et pas assez bonne, qu’on arbore fièrement nos lunettes fumées et qu’on annule nos rendez-vous pour profiter des terrasses sur Saint-Denis, on le croit vraiment.

Mais moi, ça fait un bout de temps que je sais.
Malgré la neige tardive, je savais.

Je savais parce que j’ai repris goût. J’ai repris goût à la course à pied, à l’écriture, au cinéma, au théâtre… et aux terrasses aussi, c’est vrai.
Ça me fait ça le printemps. Je sors d’hibernation. Dans une autre vie, je devais être un ours. C’est certain.

Dès que le soleil se pointe le nez un peu plus tôt le matin, dès que je vieilli d’un an, dès que les compagnies de théâtre commencent à annoncer leur saison à venir (même si je sais bien qu’elle ne commence que six mois plus tard), ça me donne le goût de bouger, de sourire, de vivre.

Je sais alors que la ribambelle de festivals s’en vient avec son lot de spectacles et activités en tout genre. Je sais qu’une chouette exposition fera pignon sur rue dans un de nos musées. Je sais qu’il y aura des feux d’artifice, des jongleurs, plein de vélos et de la bonne sangria dans le « Vieux ». je sais que je pourrai bientôt mettre mes sandales et les porter jusqu’à minuit sans souci.

Je sais tout ça, je le sens, et ça me fait sourire.
Tout est alors moins grave, plus léger et plus coloré. Je vois la vie en vert gazon et j’aime ça!

Oui… c’est définitivement le printemps!

Mes pour et mes contre

La semaine dernière j’ai eu une conversation avec Mignon qui figure dans mon top 5 des plus intéressantes et captivantes. Je ne pourrais pas vous dire pourquoi ni comment nous sommes arrivés à ce sujet, mais Mignon a fait une liste des pour et des contre.

L’objet de ces pour et de ces contre était fort sérieux. Il ne s’agissait pas de religion, ni de politique, pas même d’éducation ou de langue… les pour et les contre étaient les miens!

Les pour et les contre qui pèsent dans la balance et qui font qu’il reste ou pas avec moi. Par la même occasion, Mignon m’a fait réaliser que ça fait plusieurs mois que nous nous fréquentons. J’avoue que je n’avais vraiment pas compté – peut-être suis-je totalement désintéressée ou totalement horrible, mais c’est vrai, j’ai pas compté… – et c’est ainsi que j’ai réalisé que c’était l’été quand on s’est rencontré et que maintenant, on est loin dans le milieu de l’hiver. Bref, ça fait longtemps et aucun de nous deux ne se sont sauvé jusqu’à maintenant, ce qui est bon signe!

Alors voici, en vrac, ce que Mignon a pu sortir à mon sujet :
Pour : mes cheveux (!)
Pour : j’aime le plein air.
Pour : j’ai un bon sens de l’humour.
Pour : je fais tout plein d’activités que j’organise au lieu de me laisser traîner.
Contre : je réagis parfois trop fort ou bizarrement à certaines situations ou conversations qui proviennent la plupart du temps d’un malentendu.
Pour : je connais une foule de choses intéressantes de par mon travail en tourisme.
Pour : je suis facile à vivre (beau compliment!)
Pour : hummm… je suis, disons, divertissante au lit…
Contre : je ne fais pas de ski alpin et je n’ai pas le câble à la maison… this, I can live with!!
Pour : …
Je sais plus…
J’ai pas pris de notes et je dois avouer que j’ai commencé à être étourdie par tous les pour que j’entendais. Étourdie, heureuse, légère. J’ai souri, j’ai écouté tranquillement et j’ai souri.

Bien que j’ai ressenti un début de sentiment de quasi-panique quand la conversation a débuté, de peur que ça dérape et que les contre passent de travers dans ma gorge, la conclusion de cette conversation ne pouvait être autre que : les pour sont vachement plus nombreux!

C’est bien ça.
Ça me fait sourire ça.

C'est ce que j'appelle de la beauté!

On peut dire que cette fois j’y ai mis le paquet! Peu importe le déroulement de 2007, j’ai su terminer l’année en beauté et peu importe mes appréhensions ou pas face à la prochaine année, j’ai su la commencer en beauté elle aussi.

De la beauté mur à mur!!!

Tout d’abord, pour Noël, j’ai pris mes jambes à mon cou et j’ai volé jusque sur une île ensoleillée pour passer du bon temps avec ma copine Manon. Une semaine extra remplie de soleil, de belles rencontres, de danse, de rires et… d’alcool!

Une belle surprise m’attendait à l’aéroport : un accueil personnalisé (et fort apprécié) de Mignon, suivi d’un petit échange de cadeaux tout aussi mignon et apprécié et de collage intensif pour rattraper la semaine d’écart.

De retour juste à temps pour la fin de l’année, j’ai passé les derniers moments de l’an dernier et les premiers moments de cette année avec mon grand ami Jo. DJ émérite, j’ai dansé sur sa musique en souriant à tous ces inconnus qui dansaient également autour de moi au Salon Daomé. J’ai fait la bise à plus de gens que j’aurais cru possible et j’ai réellement souhaité que l’année se déroule comme elle a débuté, pleine de joie avec mon ami.

Premier week-end de janvier passé en Charlevoix, à l’Auberge des Peupliers. Une table exquise, une chambre sympa avec une vue extraordinaire sur le fleuve et un service chaleureux nous attendaient.
Samedi : randonnée en raquettes au Centre de plein air les Sources Joyeuses. Petit, mais très chouette comme endroit! Belle surprise, une fois arrivé au chalet situé à mi-chemin, du chocolat chaud et du café gratuit n’attendaient que nous pour être dégustés.
Dimanche : retour tranquille vers la grande ville avec pause en après-midi au ZoneSpa, près de Québec. Nous avons flâné dans les bains, saunas et chaises longues en plus d’avoir profité d’un massage bien mérité. Les mains de David-le-massothérapeute m’ont fait le plus grand bien!

Et aujourd’hui, lundi, retour au travail. C’est étrange, mais j’étais fébrile hier soir au coucher. Fébrile à l’idée de retourner travailler. Fébrile comme une enfant qui a hâte de recommencer sa 2e année B et de revoir ses amis après les vacances des Fêtes. J’imagine que c’est un signe comme quoi j’aime ce que je fais et les gens avec qui je travaille!

Voilà donc. C’est reparti.
Ce soir, j’avoue que je suis fatiguée de ma première journée de travail. Elle était pourtant bien normale.
Mais bon, je prendrais bien un autre massage et un peu plus de collage intensif pour la nuit…